From 1 - 10 / 200
  • Il s’agit de « la mise en commun d’un véhicule ou d’une flotte de véhicules de transport terrestre à moteur au profit d’utilisateurs abonnés ou habilités par l’organisme ou la personne gestionnaire des véhicules. Chaque abonné ou utilisateur habilité peut accéder à un véhicule sans conducteur pour le trajet de son choix et pour une durée limitée. » (Art L.1231-14 du code des transports). L’autopartage réduit la dépendance à la possession d’un véhicule personnel et favorise le report vers d’autres modes de mobilité. En ce sens, il réduit la consommation d’énergie et les émissions de polluants. En outre, il permet de libérer de l’espace urbain utilisé auparavant pour le stationnement des véhicules. L’autopartage a connu ces dernières années une croissance très forte et dispose d’un potentiel de développement important. L’entreprise Citiz a ainsi permis une grande visibilité de l’autopartage en Grand Est, de même qu’Autolib’à Paris. La plupart des grandes villes françaises disposent de ce type de service : Strasbourg, Paris, Bordeaux, Nantes, Lyon, Lille, Marseille ... Certains services d’autopartage peuvent être couplés avec des services de covoiturage afin de remplir au mieux les véhicules partagés (ex: Clem’). On peut distinguer 3 dispositifs d’autopartage : • l’autopartage « classique » avec un parcours « en boucle » (retour du véhicule à la station de départ) • l’autopartage en trace directe (le retour du véhicule peut être effectué dans une station différente de celle du départ) • l’autopartage « sans station » (Free-flow), où il suffit de laisser le véhicule dans un périmètre défini, qui reste très rare (ex: service Yea! à Strasbourg).

  • La présente couche localise les cales et appontements relevés lors de campagnes d'inventaire conduits en 2013.

  • L’IRVE (infrastructure de recharge pour véhicules électriques) est un système matérialisé de bornes permettant d’alimenter les batteries des véhicules électriques en énergie. Plusieurs types de recharge permettent l’alimentation des batteries: • La recharge standard, dite normale est celle priviligiée pour une utilisation lambda de son véhicule. Il s’agit généralement des systèmes de recharge des particuliers (entre six et dix heures de recharge pour un véhicule léger standard). Sa puissance est inférieure à 7kVA. • La recharge semi-accélérée, ou accélérée, a vocation d’alimentation d’appoint, lors de stationnements occasionnels (entre deux et cinq heures pour une charge complète). Sa puissance est comprise entre 7 et 22 kVA. • La recharge rapide permet une charge complète de la batterie en une trentaine de minutes et permet l’utilisation plus confortable d’un véhicule électrique sur des longs trajets. Sa puissance est supérieure à 22 kVA. Les IRVE peuvent être implantées sur le domaine public ou privé. Une loi permettant d’accélerer le déploiement du réseau national de bornes de recharge pour véhicules électriques sur l’espace public a été promulguée en 2014 (Loi n° 2014-877 du 4 août 2014). Elle permet notamment une exonération de redevance à destination des opérateurs (Etat ou société privée) qui implantent des bornes de recharges électriques dans le cadre d’un projet de dimension nationale. De même, chaque opérateur doit déclarer auprès de l’Etat les caractéristiques intrinsèques à ces IRVE (décret n° 2017-26 du 12 janvier 2017). Certaines sociétés privées et associations facilitent l’installation d’IRVE et de services associés sur le territoire: Chargemap/Saabre, Avere, etc...

  • L’IRVE (infrastructure de recharge pour véhicules électriques) est un système matérialisé de bornes permettant d’alimenter les batteries des véhicules électriques en énergie. Plusieurs types de recharge permettent l’alimentation des batteries: • La recharge standard, dite normale est celle priviligiée pour une utilisation lambda de son véhicule. Il s’agit généralement des systèmes de recharge des particuliers (entre six et dix heures de recharge pour un véhicule léger standard). Sa puissance est inférieure à 7kVA. • La recharge semi-accélérée, ou accélérée, a vocation d’alimentation d’appoint, lors de stationnements occasionnels (entre deux et cinq heures pour une charge complète). Sa puissance est comprise entre 7 et 22 kVA. • La recharge rapide permet une charge complète de la batterie en une trentaine de minutes et permet l’utilisation plus confortable d’un véhicule électrique sur des longs trajets. Sa puissance est supérieure à 22 kVA. Les IRVE peuvent être implantées sur le domaine public ou privé. Une loi permettant d’accélerer le déploiement du réseau national de bornes de recharge pour véhicules électriques sur l’espace public a été promulguée en 2014 (Loi n° 2014-877 du 4 août 2014). Elle permet notamment une exonération de redevance à destination des opérateurs (Etat ou société privée) qui implantent des bornes de recharges électriques dans le cadre d’un projet de dimension nationale. De même, chaque opérateur doit déclarer auprès de l’Etat les caractéristiques intrinsèques à ces IRVE (décret n° 2017-26 du 12 janvier 2017). Certaines sociétés privées et associations facilitent l’installation d’IRVE et de services associés sur le territoire: Chargemap/Saabre, Avere, etc...

  • Parcs de stationnement extérieurs de plus de 1500 m² d’un seul tenant appartenant à un même propriétaire ou à la même indivision. inventaire réalisé dans le cadre fixé par la nouvelle loi relative à l’accélération des énergies renouvelables, qui prévoit, dans son article 40, l’obligation, pour les parkings de plus de 1 500 m², d’équiper au moins la moitié de leur superficie d’ombrières solaires.

  • Emplacement des aires de retournement présentes sur le Domaine Public Fluvial (DPF) de la Région Bretagne. Ces aires permettent aux embarcations de faire demi-tour.

  • La donnée géolocalise les Points Routiers (PR) sur le réseau routier national en Guyane.

  • Carte scannée du plan général de voirie dans le cadre de l'aménagement du lotissement communal les Koulans de la commune de Mana.

  • En préalable aux études de réfection de la route d'accès au barrage de Petit-Saut (communes de Kourou et Sinnamary), la Région Guyane a acquis différents produits topographiques ainsi qu'une ortho-image technique couvrant l'intégralité de la route de Petit-Saut. L'emprise représente la zone informée (hors NO_DATA) des modèles numériques (MNT, MNS, MNH) ainsi que de l'ortho-image technique.

  • Les principales pistes (PP) forestières sont gérées par l'ONF et se situent principalement dans le domaine forestier permanent. La table attributaire comprend des informations sur la date de création de chaque piste, leur praticabilité ainsi que sur le statut juridique de la voie. Pour rappel toutes les pistes gérées par l'ONF sont interdites à la circulation publique.