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Il s’agit de « la mise en commun d’un véhicule ou d’une flotte de véhicules de transport terrestre à moteur au profit d’utilisateurs abonnés ou habilités par l’organisme ou la personne gestionnaire des véhicules. Chaque abonné ou utilisateur habilité peut accéder à un véhicule sans conducteur pour le trajet de son choix et pour une durée limitée. » (Art L.1231-14 du code des transports). L’autopartage réduit la dépendance à la possession d’un véhicule personnel et favorise le report vers d’autres modes de mobilité. En ce sens, il réduit la consommation d’énergie et les émissions de polluants. En outre, il permet de libérer de l’espace urbain utilisé auparavant pour le stationnement des véhicules. L’autopartage a connu ces dernières années une croissance très forte et dispose d’un potentiel de développement important. L’entreprise Citiz a ainsi permis une grande visibilité de l’autopartage en Grand Est, de même qu’Autolib’à Paris. La plupart des grandes villes françaises disposent de ce type de service : Strasbourg, Paris, Bordeaux, Nantes, Lyon, Lille, Marseille ... Certains services d’autopartage peuvent être couplés avec des services de covoiturage afin de remplir au mieux les véhicules partagés (ex: Clem’). On peut distinguer 3 dispositifs d’autopartage : • l’autopartage « classique » avec un parcours « en boucle » (retour du véhicule à la station de départ) • l’autopartage en trace directe (le retour du véhicule peut être effectué dans une station différente de celle du départ) • l’autopartage « sans station » (Free-flow), où il suffit de laisser le véhicule dans un périmètre défini, qui reste très rare (ex: service Yea! à Strasbourg).
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L’IRVE (infrastructure de recharge pour véhicules électriques) est un système matérialisé de bornes permettant d’alimenter les batteries des véhicules électriques en énergie. Plusieurs types de recharge permettent l’alimentation des batteries: • La recharge standard, dite normale est celle priviligiée pour une utilisation lambda de son véhicule. Il s’agit généralement des systèmes de recharge des particuliers (entre six et dix heures de recharge pour un véhicule léger standard). Sa puissance est inférieure à 7kVA. • La recharge semi-accélérée, ou accélérée, a vocation d’alimentation d’appoint, lors de stationnements occasionnels (entre deux et cinq heures pour une charge complète). Sa puissance est comprise entre 7 et 22 kVA. • La recharge rapide permet une charge complète de la batterie en une trentaine de minutes et permet l’utilisation plus confortable d’un véhicule électrique sur des longs trajets. Sa puissance est supérieure à 22 kVA. Les IRVE peuvent être implantées sur le domaine public ou privé. Une loi permettant d’accélerer le déploiement du réseau national de bornes de recharge pour véhicules électriques sur l’espace public a été promulguée en 2014 (Loi n° 2014-877 du 4 août 2014). Elle permet notamment une exonération de redevance à destination des opérateurs (Etat ou société privée) qui implantent des bornes de recharges électriques dans le cadre d’un projet de dimension nationale. De même, chaque opérateur doit déclarer auprès de l’Etat les caractéristiques intrinsèques à ces IRVE (décret n° 2017-26 du 12 janvier 2017). Certaines sociétés privées et associations facilitent l’installation d’IRVE et de services associés sur le territoire: Chargemap/Saabre, Avere, etc...
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L’IRVE (infrastructure de recharge pour véhicules électriques) est un système matérialisé de bornes permettant d’alimenter les batteries des véhicules électriques en énergie. Plusieurs types de recharge permettent l’alimentation des batteries: • La recharge standard, dite normale est celle priviligiée pour une utilisation lambda de son véhicule. Il s’agit généralement des systèmes de recharge des particuliers (entre six et dix heures de recharge pour un véhicule léger standard). Sa puissance est inférieure à 7kVA. • La recharge semi-accélérée, ou accélérée, a vocation d’alimentation d’appoint, lors de stationnements occasionnels (entre deux et cinq heures pour une charge complète). Sa puissance est comprise entre 7 et 22 kVA. • La recharge rapide permet une charge complète de la batterie en une trentaine de minutes et permet l’utilisation plus confortable d’un véhicule électrique sur des longs trajets. Sa puissance est supérieure à 22 kVA. Les IRVE peuvent être implantées sur le domaine public ou privé. Une loi permettant d’accélerer le déploiement du réseau national de bornes de recharge pour véhicules électriques sur l’espace public a été promulguée en 2014 (Loi n° 2014-877 du 4 août 2014). Elle permet notamment une exonération de redevance à destination des opérateurs (Etat ou société privée) qui implantent des bornes de recharges électriques dans le cadre d’un projet de dimension nationale. De même, chaque opérateur doit déclarer auprès de l’Etat les caractéristiques intrinsèques à ces IRVE (décret n° 2017-26 du 12 janvier 2017). Certaines sociétés privées et associations facilitent l’installation d’IRVE et de services associés sur le territoire: Chargemap/Saabre, Avere, etc...
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La présente couche localise les cales et appontements relevés lors de campagnes d'inventaire conduits en 2013.
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Parcs de stationnement extérieurs de plus de 1500 m² d’un seul tenant appartenant à un même propriétaire ou à la même indivision. inventaire réalisé dans le cadre fixé par la nouvelle loi relative à l’accélération des énergies renouvelables, qui prévoit, dans son article 40, l’obligation, pour les parkings de plus de 1 500 m², d’équiper au moins la moitié de leur superficie d’ombrières solaires.
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La donnée géolocalise les Points Routiers (PR) sur le réseau routier national en Guyane.
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Carte scannée du plan général de voirie dans le cadre de l'aménagement du lotissement communal les Koulans de la commune de Mana.
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N_RGC_FE_Energie_Fus_l_fr : Tronçons de routes formant le réseau des routes à grande circulation - Tronçons retenuspour répondre aux besoins des opérateurs d'énergie (accès aux centrales, barrages hydrauliques, ...). a) Les routes nationales définies à l'article L. 123-1 du code de la voirie routière et mentionnées par le décret du 5 décembre 2005 susvisé ; b) Les routes dont la liste est annexée au décret en vigueur c) Les bretelles reliant entre elles soit deux sections de routes à grande circulation, soit une section de route à grande circulation et une autoroute. On entend par « bretelle » une voie assurant la liaison entre deux routes qui se croisent à des niveaux différents. généalogie non connue date de révision non connue Sources : ©IGN BD-TOPO® millésime inconnu
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Les principales pistes (PP) forestières sont gérées par l'ONF et se situent principalement dans le domaine forestier permanent. La table attributaire comprend des informations sur la date de création de chaque piste, leur praticabilité ainsi que sur le statut juridique de la voie. Pour rappel toutes les pistes gérées par l'ONF sont interdites à la circulation publique.
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Emplacement des aires de retournement présentes sur le Domaine Public Fluvial (DPF) de la Région Bretagne. Ces aires permettent aux embarcations de faire demi-tour.