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  • Cet indicateur mesure la vulnérabilité des bâtiments publics situés en zones inondables par le calcul des dommages auxquels ces bâtiments sont susceptibles d’être exposés. Le résultat est exprimé en nombre de bâtiments et en K€, par commune.

  • Cet indicateur mesure par commune le nombre de véhicules par jour circulant sur le réseau routier structurant affecté potentiellement par l’inondation. Le résultat est exprimé en véhicules /jour (TMJA : trafic moyen journalier annuel).

  • Cet indicateur mesure par commune le nombre de personnes habitant des logements dans des zones où la vulnérabilité électrique peut entraîner le dysfonctionnement de tous les autres réseaux. Le résultat est exprimé en nombre d’habitants et en pourcentage de la population communale.

  • Sur la base de l’évaluation préliminaire des risques d’inondation (EPRI) nationale et des EPRI de chaque district hydrographique et de leurs addendum, 124 territoires à risque d’inondation important (TRI) ont été arrêtés sur l’ensemble du territoire national. Ces territoires à risque d’inondation important font l’objet d’un diagnostic approfondi du risque. Une cartographie des risques est ainsi réalisée sur chaque TRI et arrêté par le préfet coordonnateur de bassin (arrêté du 22/10/2018). Cette cartographie constitue une étape majeure dans la connaissance des spécificités du territoire, des aléas auxquels il peut être soumis et dans la localisation des enjeux en rapport avec ces événements. Le but est de mieux connaître la vulnérabilité du territoire pour savoir quels sont les outils de gestion à privilégier. Cette cartographie donne un premier accès à l’analyse des vulnérabilités et du fonctionnement socio-économique de la zone : exposition des établissements sensibles (hôpitaux, écoles, entreprises Seveso), emplacements stratégiques des réseaux routiers, sensibilité des réseaux d’énergie, d’eau potable ou d’assainissement... Une fois le territoire à risque d’inondation important identifié et analysé au regard des risques d’inondation, l’étape suivante consiste à mettre en place une gestion ciblée des risques auxquels il est soumis pour anticiper et réduire l’impact des crises. Abritant une grande densité de population urbaine, les TRI font en effet l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics pour y réduire le coût des dommages consécutifs aux inondations. Ainsi, aux côtés de l’État, les collectivités locales assurent une gestion de ces risques, sur un périmètre géographique pertinent, par une stratégie locale pour répondre aux ambitions de la stratégie nationale de gestion des risques d’inondation (SNGRI) déclinée ensuite par un programme d’actions opérationnel, le PAPI (programme d’actions de prévention des inondations).

  • Zone exposée à un ou plusieurs aléas et représentée sur la carte d'aléas produite dans le cadre de l'élaboration du PPR. La carte d'aléas est le résultat de l'étude des aléas dont l'objectif est d'évaluer l'intensité de chaque aléa en tout point de la zone d'étude. La méthode d'évaluation est spécifique à chaque type d'aléa. Elle conduit à délimiter un ensemble de zones sur le périmètre d'étude constituant un zonage gradué en fonction du niveau de l'aléa. L’attribution d’un niveau d’aléa en un point donné du territoire prend en compte la probabilité d’occurrence du phénomène dangereux et son degré d’intensité. Pour les PPRN multi-aléas, chaque zone est usuellement repérée sur la carte d'aléa par un code pour chaque aléa auquel elle est exposée. Pour les PPRT les niveaux d'aléa sont déterminés effet par effet sur des cartes par type d'effets et globalement selon un niveau agrégé sur une carte de synthèse.

  • Cet indicateur mesure par commune la part de la superficie agricole en zone d’aléa. Le résultat est exprimé en %.

  • Cet indicateur mesure par commune le nombre de personnes occupant des locaux d'habitation de plain-pied exposés à un aléa fort (hauteur d'eau > 1m).

  • Une masse d'eau côtière est une partie distincte et significative des eaux de surface situées entre la ligne de base servant pour la mesure de la largeur des eaux territoriales et une distance d’un mille marin. Correspondance rapportage DCE : cette entité correspond au concept de Coastal Water Body (CWBODY) de WISE.. Elle permet de définir les objectifs environnementaux, d’évaluer l’état des milieux et ultérieurement de vérifier l’atteinte de ces objectifs. Les couches sont diffusées dans un format conforme au dictionnaire de données SANDRE du Référentiel masse d’eau, version 1.4.

  • Cet indicateur mesure par commune le nombre de bâtiments (logements, activités économiques, établissements publics) exposés à l’érosion seule. Le résultat est exprimé en nombre de bâtiments pour chacune des catégories identifiées.

  • Regroupement en paysages géomorphologiques des modelés selon notamment des critères de similarité aboutissant à la constitution de 12 paysages différents. Ces données ont été produite dans le cadre du programme Habitat Voir l'article pour plus d'information GUITETetal_2013[JOM].